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  Dernières réactualisations du site


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 bulleJPublication de l'enquête de satisfaction en esthétique :

archivesIco Vous avez été nombreux à répondre à l'enquête de satisfaction en ligne (cf. Témoignage/Enquête), et nous vous en remercions. Cette enquête continue...
Les premiers résultats font l'objet d'une publication dans la revue professionnelle française de référence : les "Annales de Chirurgie Plastique Esthétique" (Novembre 2003)...
...où l'on constate que les "satisfaits" ne sont pas aussi nombreux qu'on pourrait l'espérer... Résumé (+ abstract anglais).

 











 


bule ONIAM : en 2015, plus de prise en charge concernant les aléas de la chirurgie esthétique

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L'ONIAM ne prendra plus en charge les aléas thérapeutiques dans le cadre de la chirurgie esthétique à partir de 2015 !

La loi du 4 mars 2002, dite « Loi Kouchner », a introduit un système d’indemnisation des victimes d’accidents médicaux, d’affections iatrogènes ou d’infections nosocomiales même dans le cas où la responsabilité du professionnel de santé n’est pas engagée.

Le patient malheureux pouvait alors présenter sa demande auprès de l’ONIAM (Office National d’Indemnisation des Accidents Médicaux), à condition de présenter des préjudices atteignant les seuils de gravité suffisants.

Le patient devait alors établir que son préjudice résultait d’un acte de prévention, de diagnostic ou de soins ayant eu des conséquences anormales, sans que la finalité de l’acte ne soit prise en compte.

Aussi, l’ensemble des actes médicaux était couvert par ce système, la chirurgie esthétique incluse.
La loi de finance de la sécurité sociale 2015, adoptée par l’assemblée nationale le 1er décembre 2014 vient d’introduire l’article L. 1142-3-1 du Code de la santé publique, qui exclut clairement les victimes d’aléa thérapeutique en suite d’actes de chirurgie esthétique du bénéfice de l’indemnisation par la solidarité nationale :

«  Art. L. 1142-3-1. – I. – Le dispositif de réparation des préjudices subis par les patients au titre de la solidarité nationale […] n’est pas applicable aux demandes d’indemnisation de dommages imputables à des actes dépourvus de finalité préventive, diagnostique, thérapeutique ou reconstructrice, y compris dans leur phase préparatoire ou de suivi.  »

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bulleJLe Vatican contre la chirurgie esthétique ?

Un document interne, réalisé par des "consultantes féminines" de la cité papale vient en effet de fournir une expertise sur le sujet. Et selon le texte, cette pratique serait une "agression contre les femmes".
Pire, selon le quotidien irlandais The Irish Times, la pratique serait qualifiée de "burqa de chair" pour les femmes.
Dans le document, les liftings et autres liposuccions y sont décrites comme des "agressions" qui "réduisent les expressions du visage humain, qui sont si connectées à la capacité d'empathie". La chirurgie pourrait refléter "le stress que de nombreuses femmes ressentent vis-à-vis de leur corps", ce qui conduit parfois à "des troubles alimentaires ou à de la dépression".

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buleQuelques décès tous les ans...

Rahma, une jeune fille pleine d'énergie qui s'est dirigée de sa propre volonté pour subir une « petite » chirurgie 'esthétique dans une clinique à Sfax, au volant de sa nouvelle voiture. L'affaire s'est déroulée dans l'après-midi du mercredi 10 Décembre 2014 après que la jeune fille ait appelé sa mère au téléphone pour la rassurer et lui dire qu'elle serait de retour pour le dîner. Mais, le destin en a voulu autrement : après un va et vient entre blocs opératoires, demande de plusieurs sacs de sang et service réanimation, Rahma est décédée. Que s'est-il donc passé à cette demoiselle qui était venue à bord de sa propre voiture pour un petit ''remake'' esthétique ? L’enquête est en cours...
Deux mois auraravant, en octobre 2014, Catherine Cando (19 ans) a remporté la couronne de Miss Beauté de la ville de Durán (Equateur) et gagné de nombreux prix dont une voiture, une tablette et une liposuccion... qui s'est terminée par le décès de cette jeune femme... Enquête en cours...
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bulleJChirurgie esthétique sur des célébrités dans une salle de bains : 18 mois ferme


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Un médecin argentin qui pratiquait en toute illégalité des opérations de chirurgie esthétique aux États-Unis, notamment dans la salle de bains de l'ex-femme du chanteur Lionel Richie, a été condamné à 18 mois de prison, a-t-on appris de source judiciaire à Los Angeles.

Daniel Tomas Fuente Serrano, qui n'était pas autorisé à exercer la médecine en Californie, avait plaidé coupable d'avoir effectué notamment des injections d'un produit antirides en échange de milliers de dollars. L'ex-femme de Lionel Richie, Diane, est poursuivie pour complicité dans cette affaire. C'est en particulier dans la salle de bains de Mme Richie que le "docteur Daniel" avait pratiqué des opérations clandestines sur des patients, au moyen de produits censés être de qualité médicale, mais qui s'étaient révélés être de la silicone industrielle utilisée en mécanique automobile.
Parmi les patients du "docteur Daniel" figuraient Lionel Richie, Diane Richie et la femme de l'un des animateurs vedettes de CNN, Larry King.
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buleCellulite : on n'arrête pas le progrès !!


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L'ULTRASHAPE, "nouvelle" technique pour traquer la graisse bloquée, réfractaire aux régimes, déjà utilisée au Japon, aux Etats-Unis, en Suède et en Angleterre, est arrivée dans l'hexagone.

Ce sont des ultrasons qui sont censés attaquer les cellules graisseuses sans léser les tissus environnants.

Les meilleurs résultats seraient obtenus sur le ventre et les hanches. Mais dans un avenir proche, de nouvelles pièces à main, moins larges, devraient permettre de traiter cuisses, genoux, bras...
Il serait nécessaire d'effectuer 3 à 4 séances espacées au minimum de 15 jours, pour optimiser le traitement.
La technique n'est pas indiquée après une liposuccion, du fait d'une éventuelle fibrose, ni dans le cas d'une obésité ou d'une peau peu tonique. Elle ne l'est pas non plus dans le cas d'une maladie hépatique chronique, car le foie aurait un rôle de filtre accru, éliminant ce qui est détruit dans les adipocytes. Par contre, les ultrasons n'endommageraient ni la peau, ni les nerfs périphériques, ni les vaisseaux sanguins...
La destruction des cellules graisseuses serait définitive...
Pour les promoteurs de cette technique, de nombreux patients qui veulent être traités sans que l'entourage intime soit au courant se dirigeront vers cette technique qui, a contrario de la lipoaspiration et de la mésothérapie, ne laisse aucune trace. Par ailleurs, la reprise de l'activité serait immédiate.
En pratique : 3 séances à 15 jours - 3 semaines d'intervalle / prix d'une séance entre 700 et 1000 euros, en fonction de l'étendue de la zone traitée.

Notre avis : malgré cette description des plus encourageantes, nous attendrons des preuves plus consistantes.
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